Paroles:
Marc Seberg

Quand la chair a la neige s'unit pas d'anneau d'or comme a Venise : un uniforme perle de larmes que la brume insidieuse delave... Un pur sang rebelle

Un ciel de lit sans etoile, L'abri d'une museliere, L'arome d'une fleur male Qu'emprisonne une laniere. Tout cela & plus encore, Tout un monde

Comme dans un film noir: un homme dans une gare. La camera s'eloigne le long des voies ferrees. Retour vers l'homme, un train l'emmene, un fondu

Il leve l'ancre... Gonflent ses voiles : un nouveau depart. SI tu l'attends il te reviendra. Quelqu'un, quelque part, te tend les bras. Une jeune geisha

Les regrets des banquises bleu glacial au zenith quand l'iceberg solitaire derive au gre des mers. Une voix de cristal la melodie des glaces

C'est vrai, l'hiver dure trop longtemps. C'est vrai sans toi la neige, le gel les coups de vent en plein c?ur d'Avril s'eternisent. Les mois s'etirent

Leave me, love me, leave me something. Something to believe in, a word to repeat to the walls that enclosed my world, any word... Up from the

Des mots trop bavards comme des cheques en blanc, ou alors langue de bois que je donne a mon chat. J'epellerai les lettres de ton abecedaire, a coup

par la, par hasard; reunis sous la pluie. Par manque d'espoir on se laisse toujours faire. Sylvie / si seulement Sylvie / si seulement Sylvie / avait fui dans la nuit. Marc