On en veut toujours de nous, On redonne une chance a nos c?urs qui renouent Et malgre nos absences les impostures d?amour On ce refait confiance on ce
Je sais que c'est trop facile. Mettre son coeur en peril pour une aventure. Je sais j'ai fait l'imbecile. Toute ma vie defile. C'etait pas dans ma nature
Nous c?etait ecrit Depuis toujours des le debut du monde meme nos guerres meme les pauses quoi qu?on en pensent cette histoire est la notre une route
J'ai du changer de continent suivre ma vie et le vent laisse derriere moi,mon beau pays,son soleil pour combien de temps. Laisse derriere moi ma famille
Croire Croire a la beaute du monde En la bonte des hommes Croire a la verite profonde Et croire que tout se pardonne Croire au
Pour autant, que c'est l'amour Notre guide sur la terre Pour autant, que chaque jour On ait pas tout a refaire De ce qu'on a bati deja Dans notre maison
Elle n?etait, Pas plus grande que 3 pommes Elle disait, Que ferais-je avec un homme Elle etait, Sur le parvis d?une eglise Quand il lui a demander son
Le temps de lire un dernier mot. A ceux qui m'ont aimes. Le temps de dire ce qui est beau. Que jamais je n'oublierai et je partirai. Le temps de dire
Puisqu'il te faut t'enfuir, puisque ton coeur n'est plus la Que les mots pour le dire t'echappent, je vais les dire pour toi Puisqu'il te faut voler,
Temps que j'aurai tes yeux pour voir plus loin. Temps que nos mains jouerons le meme refrain. Nous irons voir au bout des choses. Pour y trouver ce quelque
Sors, de ta maison, de ton corps De ta prison de remords De tout ce qui te freines Sors de cet etat de peur Ca fait du mal a ton c?ur Et ca me fais trop
Quand on fera l'amour Juste a se regarder les yeux Quand on fera l'amour Comme une promesse de Dieu Le langage des sourds Des mains, des etreintes et
C'est comme habiter loin Des mots que l'on regrette Etre a l'abri soudain Des bombes qui nous guettent C'est un pas plus divin C'est comme une retraite
Je courais comme un fou n'importe ou A chercher qui ou quoi je n'sais pas Amoureux pour la vie un soir Reprenant mon chemin sans voir Ni le feu ni la
Je suis parti de rien Pour arriver jusqu'a toi Aujourd'hui, c'est demain Tant que tu seras la Finis les "peut-etre" Des aller sans retour C'est si bon
Au milieu de ce silence Ce monde ou je cherche encore le sens Dans ce vide immense Je m'eloigne aussi vrai que j'avance Une terre de cendres Ou j'aurais
On justifie les guerres Pour des dieux, du fric ou du vent Pour des morceaux de terre, des ideologies de sang Pour des puits de petrole, des ambitions
{Lui:} Dis-moi, combien faut-il de larmes A un accord mineur Pour sonner comme sonnent toutes mes nuits Et quand un vieux blues me damne Et me presse