Les hommes se cachent derriere les banques Derriere les baches, des saltimbanques Meme devant la mort, ils tremblent encore, pourquoi ? Les nuits glacees
Meme si tu n'aimes plus l'amour Tu l'aimeras un jour Le jeu n'est pas fini Meme si tu preferes oublier Ce qui t'a fait plier Tu changeras d'avis Un jour
L'occasion manquee Le mauvais choix Une valise Et l'on s'en va On refait sa vie Du mieux qu'on peut Et l'on croit meme qu'on est heureux On s'est aime
Si tu es different de tous ceux qui s'accrochent aux tarots, au bon dieu L'horizon n'est pas loin, tu en verras la fin Tu iras mieux Si le monde ne va
J'ai tant d'amour Qui cogne dans mes veines Et tant d'envies Pour les vivre a demi J'ai tant de reves Meme quand la nuit s'acheve Je vais les vivre maintenant
J'aurais voulu t'aimer Et pouvoir te le dire J'aurais voulu rester Et ne jamais partir Je t'aurais tant donne Mais il fallait souffrir Alors j'ai oublie
D'abord un point sorti de rien Un vide infiniment clos Un premier signe, Puis une ligne De terre melangee a l'eau L'histoire commence Sort du
Les mouchoirs de dentelles sur le parquet des hommes Les promesses habituelles d'un corps qui s'abandonne Les mots d'amour graves sur l'ecorce d'un chene
Dis-moi l'envie qui te hante Je l'assouvirai La moindre de tes attentes Je la comblerai Dis-moi les mots qui te plaisent Je te les dirai Ces
La vie est dure, je sais mon gars Elle a toujours, toujours ete comme ca Rien n'est nouveau, rien n'est meilleur Le hasard roule sa route ailleurs Tu
L'eternite, c'est Zonza ! Les tours genoises ont vu passer De la bireme aux plaisanciers Beaucoup d'hommes qui ne savaient pas Que si tu t'offres, on
Les jours heureux Les mauvais souvenirs J'ai pris du plaisir J'ai tout connu Le meilleur et le pire J'ai pris du plaisir Qu'elles aient ete Ou de glace
Meme en courant Plus vite que le vent, Plus vite que le temps, Meme en volant, Je n'aurai pas le temps, pas le temps... De visiter Toute l'immensite
Parce qu'ils ont l'ame grise que leur rire apprivoise Et des clochers d'eglises, de granite et d'ardoises. Parce qu'ils ont des rivieres, des forets,
On se reverra Dans ce monde et au-dela Demain ou bien ailleurs Pour le pire ou le meilleur On se reverra Jamais on ne s'oubliera Aussi dur que la croix
blancs, les dessous dentelles Tendus au-dessus des ruelles Comm's'ils voulaient nous dire leur nuit. La louve allaitant les jumeaux, Le ciel de Michel
On est parti pour la bataille Avec nos gueules d'epouvantails, Tous entasses comm'du betail Dans des camions couleur grisaille, Dans des camions couleur
Je t'aime tu m'aimes tout va tres bien Plus de vingt ans main dans la main Mais derriere ce bonheur qui tient Je vais te dire c'qui nous arrive On s'habitue