"Nel Grembo umido, scuro del tempio, l'ombra era fredda, gonfia d'incenso; l'angelo scese, come ogni sera, ad insegnarmi una nuova preghiera: poi,
Vont se mettre, sans un mot, Debout autour du piano Et me disent tendrement, Patronne, patronne. C'est fou comme ils sont heureux, Mes hommes, Quand le son du piano
Que tout change. C'est beau, L'amour qui derange Mais, au ciel de ma memoire, Me revenait tous les soirs L'ombre de mon piano noir. Il a dit Peccable