vie et ruses Je ne baisserai pas le front sur mon piano En buvant tes mots de fureur Je n?vaux rien dans la vie, dans le lit zero Ma douleur (Rire :
Tes yeux qui me traitent De bon a rien du tout De fiotte de mauviette De merde de bande mou Tes yeux qui jettent Des eclairs et des cailloux Quand le petit matin
fant?dans la maison Mais quand revenait le temps de la belle saison Elle ouvrait sa fen?e comme on ouvre son coeur Pour jouer du piano le soir ?ept heures
des vacances Celle qui a fait battre nos coeurs Je voudrais que tout recommence Pour retrouver notre bonheur C'etait un piano mecanique Qui le matin
filles mais c'est toi que je chante Je suis trop seul le soir j'digere plus mon pain noir Ni le quignon de chagrin qu'je garde pour le matin Mais j'
'un verre, je vivais d'espoir. J'etais ivre mort du matin au soir, A rouler par terre en revant de gloire. Refrain : Et quand je jouais du piano Toutes
(D. SEFF / R. SEFF) Y a la femme du dernier etage Qui a sept heure fait son menage La fille qui apprend le piano Et le maniaque du marteau Le chien
Vont se mettre, sans un mot, Debout autour du piano Et me disent tendrement, Patronne, patronne. C'est fou comme ils sont heureux, Mes hommes, Quand le son du piano
le jardin, Sa fiancee, Qu'elle etait belle, Sa tendresse, Sa mie, sa divine. Dedans le grand salon d'Eglantine, Les roses sont effeuillees. Sur le piano