guerre ? Casanova a-t-il invente l?amour ? Ces questions sont la priere que tu me gardes toujours Laisse-moi cette souffrance de t?aimer comme un fou
l'humour Tes yeux qui m'aplatissent Oh comme je t'aime mon amour Tes yeux qui me jettent Des je vais t'arracher un doigt Des si tu pouvais jouer du piano
de plus Je n'ai que deux mains Mais l'air que j'aime bien Ne se joue qu'?uatre mains Mais pourvu qu'il existe Le pianiste Que j'attends Sinon ce piano
'est un amour qui n'a jamais commence Comme une nuit sans pluriel Comme un oiseau sans arc en ciel Je n'aime pas la vie a petit feu Je t'aime de mieux
sais, je t'aime, je n'ose pas te le dire Un seul regard devrait Ce regard qui fait qu'on peut tout reconstruire Un soir souviens-toi, tu jouais du piano
se bousculent, une simple canette de Fanta. Il cherche comme un chien sans collier le foyer qu'il n'a en fait jamais eu, et se dit que p't-etre, bientot
s?aime tout est possible, Vas-y, tu peux compter sur moi, C?est moins precis mais plus solide, Que de compter sur tes doigts. Si tout se vend pis que
n'y peux rien Ne retiens pas tes larmes Pleurer ca fait du bien Et si tu as de la peine Tu sais que je t'aime Je ne serais jamais loin Tu t'accroches
n'y peux rien Ne retiens pas tes larmes Pleurer ca fait du bien Et si tu as de la peine souviens toi que je t'aime Je ne serais jamais loin Tu t'accroches
'enfer du hasard Quand le piano a bretelles jouait le fameux air que t'aimais Je ne suis pas melomane mais le vague a l'ame me prenait Je t'avais promis
dire, Amoureuse du bout des doigts. Au piano, je pourrais le dire. Ecoute-moi, regarde-moi. Je ne peux pas, Je ne sais pas, Je n'ose pas. Je t'aime, je t'aime, je t'aime
-la Te ressemble Et j'en tremble. Cet enfant-la, Tu t'en souviens, Tu le voulais. Tu m'en parlais Et, merveille des merveilles, Je riais de t'entendre