J'assemble chaque matin des pieces de ma vbie Je rassemble des sourires a montrer aux gens Pour paraitre bien aimable Parce qu'au fond je boite, la tete
La moindre lettre transforme l'emotion un simple code transcrit mes intuitions pris au piege a me voir ecrouer sans raison Dans l'alphabet prison Et pourtant
Des jours sous l'ecume a froisser le bitume A chercher le phare ou des choses a faire Meme si il est deja tard pour sortir de l'enfer Des fenetres closes
Dans le coeur de Tokyo J'ai des sursauts Des ecrans qui scintillents dans l'indicible Je marche en somnolant Je souris betement Et je sais qu'aujourd'
Celui qu'on neglige assis vers le fond A qui on inflige de ne pas sortir un son On se fout pas mal se savoir d'ou il vient Est-il trop instable ? Lui
Servons-nous ! Les rayons sont ouverts Serrons-nous au fond des fourmillieres tout est permis et tout le monde sort c'est l'incendie You got to blockout
Tu m'insultes sous mon toit, tu as surement Oublie notre amitie d'avant, entre temps Tes histoires m'oppressent, je regrette*Oublie mon adresse et le
Livres a eux meme depuis l'bapteme En peine, desoeuvres, tous blindes d'problemes Des gosses desd rue arpentent l'asphalte Sous la chaleur moite d'un
Bien seul a ronger l'ecorce Sans vie, sans un instant cle A trembler souvent tu forces Le visage, le regarde sabre Quand e monde te hait Tiens toi : Debout
L'amerique assissine, detruit la souche Et la voix du Bien, doucement se bouche On aimerait tenir bon, jsqu'a demain Mais ils veulent se faire la peau
Tu vois bien que je ne plie pas sous la charge. N'ayant plus peur des naufrages. Personne ici ne saura me mettre a terre. Je suis libre comme l'air !
Les mots sont l'arme du menteur Mon ego aime tellement qu'on le flatte Les details prennent parfois de l'ampleur Nos failles sont des amies de longue
Mes nevroses dorment dehors j'ai promis d 'eviter de chialer sur mon sort et d'esquiver les mots, la tete encore dans l'eau. Si frileux des fois je suis
Mais qui est en tort? celui qui peche et qui confesse ou celui qui prend sur lui, n'empeche pas son ivresse ? Qu'est ce qu'ils implorent ? l'eternel et
On m'a vu en France, passer du temps la tete dans le sable. La bouche cousue, a observer. M'enivrer de visages, beaute par les annees, un vecu, une tannee
C'est un coma d'idees qui s'est empare doucement de nous. Alors peu importe ce qu'on nous sert tant qu'on est bete a manger en vain L ' academie des tares
Tout semblait sourire a Zorro quand il decide de faire escroc de basculer pour palper gros, repartir a zero. Lui qu'aimait pourtant pas les soucis, fut
Je tire cent fois, sans foi ni loi Le souffle alerte, cours a ma perte En apnee, la gorge nouee Faire table rase du passe A quoi je sers ? Sommes-nous
