Beaute Beaute du Diable C'est bien toi tout crache Tu n'peux rien promettre Tu n'peux rien jurer Malin Malin plaisir Que l'on prend a souffrir Pas recommandable
Avant que le temps ne soit venu Et que la Faucheuse frappe a ma porte Il me faudrait aller sentir combien la fragilite des hommes est belle Avant que
J'aurais traverse La ville de long en large Juste pour t'y croiser Comme sans faire expres Je voulais t'y voir Dans un joli destin Percuter au hasard
Puisque la vie est ainsi Et que nous n'sommes pas comme ca Peu m'importe l'endroit, la maniere J'm'en fous, je trace vers toi Toi qui n'es jamais la meme
O combien j'aimerais, chaque seconde Etre foutu de me depasser Toucher du bout des sens, le bout des mondes Qui, c'est sur, abondent en tresors caches
PParc'que l'amour est enfant de Boheme et que si tu ne m'aimes pas, moi je t'aime C'est comme l'eau de nos benitiers aux fronts des creve-la-faim On simule
Dans l'eternite de l'instant C'est ce coeur souleve Qui prodigue au firmament Ses quatres voluptes Et de leurs ailleurs extatiques Retentissent les choeurs
J'mate mes chaussures Je n'ai pas fiere allure Des chiens enrages Fanfares d'alcool pour tout trasher Tu sniffes la glu Et te disperses a perte de vue
Dans la criniere des filles Il y a des trains qui deraillent Tu y cherches un tresor Tu y trouves un mystere Tu ne crains plus la mort Comme tu ne crains
La mort sifflera trois fois Par les trois orifices De ce jardin qui est le tien Le jardin des delices La mort sifflera trois fois Comme le vent dans
Tu n'es pas de celles qui s'enivrent En revassant sous les demi-lunes Il y a au coeur comme des crevasses Que meme l'amour en est degueulasse Tu n'es
Tu ne perds rien pour attendre Je t?aime et te garde Ainsi que ton tresor enfoui Et si les larmes coulent de source C?est qu?elles la prennent Au confin
Je n'oserais jamais Te regarder en face La beaute parfois effraie J'arrive pas a finir ma glace Et dans la glace j'ai l'air immense Immensement con et
Puisque la vie est ainsi Et que nous n'sommes pas comme ca Peu m'importe l'endroit, la maniere J'm'en fous, je trace vers toi Toi qui n'es jamais la
Je n'oserais jamais Te regarder en face La beaute parfois effraie J'arrive pas a finir ma glace Et dans la glace j'ai l'air immense Immensement con