Je passais par hasard Je passais pour vous voir Pour retrouver un peu De ces amities rares Qui fondent les espoirs D'un "c'est possible a deux" {Refrain
Quitte-moi, quittons-nous juste un peu trop longtemps Pour que nous ressentions le bonheur d'etre triste Loin des yeux, loin du corps, pour que l'envie
dame Delicieusement susurres Mais je sais que les mains des femmes Jamais je ne les oublierai Mais je sais que les mains des femmes Jamais je ne les oublierai
J'ecrase une cigarette a moitie pas finie Dans le bol d'habitudes decafeinees Le temps est comme moi, incertain et tout gris Il est sept heures et quart
Comment te dire ce que je ressens pres de toi ? Je n'ose imaginer ce que par ton absence Ma vie aurait ete, tellement l'insouciance Vient effacer les
Nous nous reverrons bien un jour Si la vie le veut, je reviendrai vers vous Vous revoir, Je le veux plus que tout Nous nous reverrons bien un jour Quand
Quand elle pleure, Boa Bonheur, Son rimmel sur sa robe a fleurs Quoi faire pour eteindre ses larmes, Boa Bonheur Plaindre en elle l'homme ou la femme
Ils sont tellement mignons Tous deux a leur facon Et le brun et le blond Ses amants polissons Le brun est impudique Le blond est angelique Mais les deux
Quand je ne pourrai plus entendre Le bruit des bottes sur le bitume Et sa cohorte d'amertumes qui les escorte Quand il n'y aura plus sur Terre Un seul
Le coquelicot de ta bouche Effleure le grain de ma peau Des que son petale le touche Comme des mots Comme des mots eclos de ta bouche Colorant le grain
'est pas une chose a faire que poser son derriere Sur des coussins moelleux Quand je suis la le cul par terre, Psalmodiant des prieres, a je ne sais quel Dieu Toi qui ne bois jamais
Peut-on s'imaginer qu'un jour L'etre humain deifie sa Terre Et lui consacre autant d'amour Qu'a ses religions deleteres ? Peut-on supposer un instant
Il se peut bien que tu regrettes l'odeur de ce mauvais cafe Qui venait souvent rechauffer nos coeurs de lendemain de fete Il se peut bien que tu regrettes
Voila personne ne dit mot On est la tous les deux a regarder nos tasses Faut accepter que le temps passe C'est l'heure des adieux il nous a fait defaut
Le soleil coule sur le plateau. La chair de poule me fait la peau. Tout me chamboule, il fait si beau Et le vent du souvenir vient nous lifter les maux
Ce soir etrangement, le chapiteau repose. La mort a fait main basse sur le rire des enfants. Le clown s'en est alle et la lune repand Sur son lit les
Dans le rouge attrayant de ce vin delectable Qui reduit a neant mon cote respectable Il faudrait que j'arrete de trousser la fee verte Qui ne me transformera jamais