, Lentement, les ailes deployees, Lentement, je le vis tournoyer, Pres de moi, dans un bruissement d'ailes, Comme tombe du ciel, L'oiseau vint se poser, Il avait les
different. Pourtant, les chats aussi sont gris Et les lilas blancs sont blancs Mais l'amour, s'il est l'amour, N'a ni de pourquoi, ni de comment Et les
oceans. J'ai survole la Horvanie Et les gratte-ciel de Manhattan. J'ai vu les neiges etoilees. J'ai touche le surnaturel. Je sais ou vont les ballons blancs Que perdent les
blancs, Des oiseaux de feu, des iles enchantees, Des etoiles filantes au fond de ses yeux. Il ne connaitra que l'ogre gentil Qui jamais n'a devore les
fondre les neiges, Comme les folles fievres, de fantasmes en malaises, Comme les doigts du Diable distillent les arpeges, Comme un ocean, un lac, avant les
oiseaux blancs Tournoient lentement. Oh, regardez : il neige De grands oiseaux de neige Et de fatigue en fatigue, Emportee, je navigue. Oh, ne m'eveillez pas. Des milliers d'oiseaux