J'ai cherche l'erreur Au coeur des systemes, Ce qui brille est un leurre Ce qui brille peut fondre au soleil J'ai cherche l'erreur Qui trouble mon sommeil
Je vois ton nom ecrit en grand partout sur les murs Sais-tu c'que j'endure ?? je sens tes mains sur mon corps qui brule, je brule Et je reve d'un courant
A peine sorti de mon sommeil J'ai l'impression que tu m'appelles C'est le moment d'en avoir le coeur net Selon le rituel je m'avance Tu sais a force on
Surtout n'attends pas Que le monde soit parfait La vie qu'on a, est ce qu'on en fait Surtout n'attends rien De tout c'qu'on t'apprend Ou est le bien Qui
Cette impression que nous avons d'avoir change, Quand la raison ne compte plus comme elle comptait Quand un prenom met d'la chaleur dans nos pensees Qu
Tu sais le monde a peut-etre raison De ne pas se poser trop de questions De continuer a vivre De continuer a croire Que ce n'etait pas a toi de dire la
Il est bien tard Je comprends La terre a deja fait deux tours. Mais tu sais ca fait longtemps Que je patiente jusqu'a ce jour. Plus on attend et plus
Quelles sont encore ces frontieres Qui peuvent separer les etres Comme d'autres prieres ou d'autres manieres Mais qu'est-ce qui toujours nous pousse A
Ce n'est plus l'espoir, c'est l'ennui qui fait vivre Combien de temps avant qu'on nous delivre, yeah Ou trouver la force, l'energie necessaire, Pour mener
C'n'est pas juste une histoire qui finit mal C'n'est pas juste les ameas d'une erreur sentimentale C'est pas juste, c'est pas juste Y'a quelque chose
C'est nous contre leurs peines Et le message est clair Les mots passent Et l'indifference regne Si le mal me gagne Coupable seul de n'avoir rien su faire
Faire partie du fleuve, ne pas sortir du rang Puis courber nos corps portes pas le courant L'infini nous depasse comme des fetus de paille Nos ames flottent
J'ai besoin de fuir le monde a present Plus rien ne m'attire j'ai deja trop fait semblant S'il me suffit d'ouvrir les portes en silence A ceux qui enivre
Regarde-toi assise dans l'ombre A la lueur de nos mensonges Une main glacee jusqu'a l'ongle Regarde toi a l'autre pole Fermer les yeux sur ce qui nous
J'ai longtemps parcouru son corps Effleure cent fois son visage J'ai trouve de l'or Et meme quelques etoiles En essuyant ses larmes J'ai appris par coeur
Le temps me vole ce que j'ai de plus cher Dans mes souvenirs tu rigoles et tu fais tourner la terre Ce qui me desole et que je desespere Que ton image
On etait comme des freres, pas de sang mais pas de guerre Entre nous toujours fiers d'etre seuls sur Terre T'arrive-t-il de vibrer pour un autre que toi
Tadadada... Des milliers de bras tendus Dans le vacarme de ma venue Mon dieu, qui je suis ? J'ai laisse ma solitude Ma maison est un vehicule Sur mon