D'ou qu'on parte Et apres mille et trois doux ebats D'ou qu'on parte Au finish, on ne monte qu'en bas Tant de mains, c?urs debout, qui nous ont applaudis
Sans doute, a trop servir, nos etreintes se sont usees La colle de nos corps n'a pas soude les mots brises Ton adieu s'est fige dans mon c?ur comme du
Elles ont au fond de leurs yeux Quelque chose de religieux, Les filles d'Abraham, Elles ont au fond de leur c?ur Quelque chose qui vient d'ailleurs
Elle l'a visse Dans chaque pore de sa peau Il a reveille les cris Qui dormaient sous les mots Meme quand elle travaille Il bouge dans ses entrailles Elle
La mer ramene ce qu'elle noie Comme un chien la poularde morte Le vent jette devant nos portes Des feuilles que nos bottes broient Les cadavres sous
Tous ces proces que tu m'intentes Pour un passe que tu t'inventes Alors que l'on s'est tant aimes Ces mots trouves dans les ordures Que tu me lances a
En bousculant le vase a fleurs Elle est tombee au ralenti Elle a dit "Je vais te quitter !" J'ai pas, j'ai pas pu supporter Elle est tombee au ralenti
J'arrive a l'heure ou meme vivre est fatigant Ou pour sembler moins moche, il faut, il faut etre elegant Que l'on soit maigre ou fort Survivre est un
Si seul dans ses pensees, dans son dernier supplice Socrate se souvient Des jeux tendres qu'il eut pour d'imberbes complices A l'ombre des jardins Ca
Nous respirons dans l'haleine Du dragon Verbaudrimlaine Ils ont efface derriere Ils ont deblaye devant Nous respirons dans l'haleine Du dragon Verbaudrimlaine
Je te propose des objets heteroclites D'oblongs ivoires, des engins, Ce sont les sceptres de Venus, ces monolithes Gardiens de ton pruneau d'Agen A vocation
{Lui:} Cathy, Cathy, qu'a-t-il ? Qu'a-t-il de plus que moi pour deciller tes cils ? Cathy, Cathy, qu'a-t-il ? Qu'a-t-il de plus que moi pour te rendre
Ses cheveux frises sur la tempe Je la vois dedans mes pensees Elle coud sous la calme lampe Toutes ses annees depensees A chasser des betes qui rampent
J'arrive a l'heure du large, a l'age d'horizons Le cap vers le Cap-Vert, viens-t'en ! On quitte la maison Arme de tes yeux clairs Je cingle vers la mer
Que dire a tous ces GENS QUI S'AIMENT, le doute, me vient par moment, briser leur reve est un blaspheme, si je leur dis : ca va durer, ca va durer, ca
Faut-il encore que tu veuilles, Je veux te cueillir feuille a feuille, Disperser d'abord tes sandales Au hasard, comme deux etoiles D'abord tes cils
Ta voix murmure Tranquille et sure Comme un vieux disque qu'on ecoute Un verre de whisky a la main Sous la veranda on s'installe Dans un bruit feutre
UN JOUR..., UNE VIE UNE VIE, UN JOUR, c'est une envie qui dure toujours. On voudrait que ca dure, on voudrait prolonger cette vieille aventure, malgre